Compta Online
Newsletter n°54 :: MAI 2010



Comptabilité, Gestion et Finance. Quels postes, quelles carrières, quels salaires ?


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Décision de justice au sujet du DIF
Comme nous vous l'avions indiqué dans l'article les nouvelles mentions obligatoires du certificat de travail en mars dernier, le Code du Travail impose désormais la mention du solde d'heures acquises au titre du Droit Individuel à la Formation (DIF).

Une récente affaire à la Cour d'Appel Chambre Sociale de Rouen datant du 27 avril dernier atteste de cette obligation.


Rappel des faits


Un délégué commercial a signé une rupture conventionnelle avec son employeur. Après plusieurs refus d'homologation de ladite convention par la DDTEFP, c'est finalement la quatrième convention qui sera acceptée par l'Administration.

A la suite de ce contre-temps, un contentieux est porté devant le tribunal afin que cette rupture conventionnelle soit requalifiée en licenciement sans cause réelle et sérieuse. Le juge refuse cette requalification, mais dénote l'absence de toute mention du droit individuel à la formation dans le certificat de travail.

Ainsi, en l'absence de toute information concernant le DIF, le salarié n'a pas pu bénéficier de son droit à la formation préalablement à la rupture conventionnelle. A titre de rappel, l'article D1234-6 du Code du Travail stipule :


Le certificat de travail contient exclusivement les mentions suivantes :

1° La date d'entrée du salarié et celle de sa sortie ;

2° La nature de l'emploi ou des emplois successivement occupés et les périodes pendant lesquelles ces emplois ont été tenus.

3° Le solde du nombre d'heures acquises au titre du droit individuel à la formation et non utilisées, y compris dans le cas défini à l'article L. 6323-17, ainsi que la somme correspondant à ce solde ;

4° L'organisme collecteur paritaire agréé compétent pour verser la somme prévue au 2° de l'article L. 6323-18.



De ce fait, le juge a décidé que l'employeur devrait verser la somme de 955.21 euros, à titre de dommage et intérêts, ceci afin de compenser l'absence de cette information.

Cette affaire est une des premières, à appliquer l'article D1234-6 du Code du Travail depuis sa dernière modification (le 18 janvier 2010). Cela nous montre l'importance de l'aspect formation dans les relations employeur-salarié. Donc une notion a ne surtout pas négliger, comme nous le montre cette récente décision.


DEC - Examen Final - Avis du 30 mars 2010 relatif à la session de novembre 2010
Un avis concernant la seconde session de l'examen final au diplôme d'expertise comptable 2010 a été publié au bulletin officiel, le 6 mai 2010. Il donne :


1/ Les modalités d'inscription


Demandes de dossiers : du lundi 12 juillet 2010 au lundi 23 août 2010
Clôture des inscriptions : lundi 30 août 2010



Lors de leur première inscription à ce diplôme, les candidats devront obligatoirement s'inscrire au minimum aux deux épreuves écrites.


Les dossiers d'inscription sont à renvoyer pour le 30 août 2010, avec les pièces suivantes :
  • l'attestation de fin de stage
  • le diplôme permettant l'inscription
  • le mémoire, en trois exemplaires (format 21 x 29,7 cm), si le candidat s'inscrit à l'épreuve n° 3


2/ Les dates des examens de novembre 2010


  • épreuve écrite n° 1, réglementation professionnelle et déontologie de l'EC et du CAC : lundi 15 novembre 2010
  • épreuve écrite n° 2, révision légale et contractuelle des comptes : mardi 16 novembre 2010
  • épreuve n° 3, rédaction et soutenance d'un mémoire : du mercredi 17 novembre 2010 au vendredi 3 décembre 2010
  • Résultats : mi-janvier 2011



Sources :
Avis du 30 mars 2010 relatif à l'examen final du diplôme d'expertise comptable


Et toujours pour mémoire :

Défaut de présentation de comptabilité et faillite personnelle
C'est dans un arrêt du 1er décembre 2009, que la Cour de cassation apporte des précisions sur les conséquences du défaut de présentation de comptabilité.


Le défaut de présentation de comptabilité est souvent invoqué afin de permettre l'ouverture d'une procédure de faillite personnelle à l'encontre d'un dirigeant concerné par ce manquement.


Mais pour que ce délit puisse être utilisé en ce sens, encore faut-il que le dirigeant en question soit tenu d'établir une comptabilité en vertu d'un texte légal.


Echappent donc au risque de faillite personnelle pour ce motif, les agriculteurs, les artisans et toutes les professions libérales à l'exception des professions réglementées, dans lesquelles seules les instances professionnelles peuvent prononcer la faillite.

La question prioritaire de constitutionnalité
Le 1er mars 2010, une nouvelle forme de contrôle de constitutionnalité est entrée en vigueur, le contrôle à postériori. Désormais, tout justiciable a la possibilité de soutenir qu'une disposition législative porte atteinte aux droits et libertés garantis par la Constitution et ce, devant n'importe quelle juridiction.


Les juges décident immédiatement de l'opportunité ou non de la transmission de cette demande au Conseil d'Etat ou à la Cour de cassation selon le cas. La Haute juridiction est alors chargée de se prononcer sur le renvoi de la question au Conseil Constitutionnel, qui devra se prononcer sur la constitutionnalité de la disposition législative concernée.


Toutes les matières juridiques sont susceptibles de faire l'objet d'une question prioritaire de constitutionnalité, y compris le droit fiscal et le droit social.

La matière fiscale est particulièrement riche de possibilités (principe d'égalité devant les charges publiques, proportionnalité des sanctions fiscales etc...) et de nombreuses questions prioritaires de constitutionnalité pourraient être déposées. Parmi les questions en cours, on peut donner l'exemple de la majoration de 25% pour non adhésion à un centre de gestion agréé ou le plafonnement de l'ISF 1


Plus d'infos
  • 1 source : La Revue Fiscale Notariale n° 5, Mai 2010, alerte 29
  • "La question prioritaire de constitutionnalité . - Aspects procéduraux" : JCP G n°9 du 1er Mars 2010, 269

L'accord national interprofessionnel sur le harcèlement et la violence au travail
Les partenaires sociaux ont signé un accord national interprofessionnel sur le harcèlement et la violence au travail, le 26 mars 2010, à l'unanimité.

Le but de cet accord n'est pas de mettre de nouvelles obligations à la charge des employeurs. Il peut être considéré comme un code de bonne conduite.

L'accord commence par définir le harcèlement et la violence au travail, avant de donner aux employeurs, un certain nombre de démarches de prévention.

Plusieurs phases sont proposées :

Identification
Formation des acteurs

Après une première phase d'identification des risques liés au harcèlement et à la violence, il est conseillé aux employeurs de former et de sensibiliser les responsables hiérarchiques et les salariés. Ce rôle de formation est dévolu aux branches professionnelles.


Dialogue

La prévention devra également passer par une phase de dialogue entre les différents acteurs, dont le but sera de permettre d'élaborer des mesures et ainsi améliorer l'organisation, les processus, les conditions et l'environnement au travail.


Prise de position

Les employeurs devraient clairement prendre position contre le harcèlement et la violence, par la création d'une charte de référence, annexée au règlement intérieur.


Accompagnement des « victimes »

L'accord reprend la procédure de médiation prévue par le code du travail afin d'en informer le plus grand nombre et de permettre un soutien médical et psychologique.


Le rappel des sanctions dans le règlement intérieur



Plus d'infos :
communiqué du ministère du travail
« L'ANI sur le harcèlement et la violence au travail : de nouvelles obligations pour l'employeur ? » : La Semaine Juridique Social n° 19, 11 Mai 2010, actualité 253




La détermination de la valeur ajoutée pour la CVAE
Quelques généralités


La déclaration de la valeur ajoutée produite par les entreprises et servant de base de calcul de la cotisation sur la valeur ajoutée ou CVAE doit être déposée à titre exceptionnel, pour le 15 juin 2010.

Beaucoup d'entreprises ont déjà déclaré leur valeur ajoutée produite avec leur déclaration de résultats, sur les tableaux 2033e et 2059e, au mois de mai, en remplissant les deux colonnes. La colonne A pour le plafonnement de la taxe professionnelle, à remplir selon les anciennes règles et la colonne B pour la CVAE (nouvelles règles).

Rappelons que le montant de la valeur ajoutée doit être reporté sur le formulaire 1330 cvae, au plus tard pour le 15 juin 2010 (déclaration papier) ou le 30 juin 2010 (télédéclaration).

Cette cotisation a un champ d'application beaucoup plus large que l'ancienne cotisation minimale sur la valeur ajoutée. Elle touche tout redevable de la cotisation foncière des entreprises (CFE) dont le chiffre d'affaires hors taxes, dépasse 152 500€.

Elle concerne les personnes physiques ou morales et les sociétés sans personnalité morale, exerçant une activité professionnelle non salariée à titre habituel.

Les modalités de calcul de la valeur ajoutée (colonne B des déclarations 2033E et 2059E)


La valeur ajoutée a été entièrement redéfinie par le législateur, afin de tenir compte des dernières évolutions jurisprudentielles et doctrinales.

Il existe désormais cinq régimes différents, au lieu de trois, précédemment :
  • un régime général
  • les établissements de crédit
  • les gestionnaires d'instruments financiers
  • les sociétés créées pour la réalisation d'une opération unique de financement d'immobilisations incorporelles
  • les mutuelles et organismes d'assurances


Les développements qui suivent, concerneront uniquement la généralité des entreprises. Les quatre régimes spéciaux ne seront pas abordés.

Deux étapes sont nécessaires :


1/ Déterminer le chiffre d'affaires (1586 sexies du CGI)


Le chiffre d'affaires est égal à la somme
  • des produits fabriqués, prestations de services et marchandises
  • des revenus de la propriété intellectuelle, c'est-à-dire les redevances pour concessions, licences, marques, procédés, logiciels, droits et valeurs similaires
  • des plus values de cession d'éléments d'immobilisations corporelles et incorporelles, lorsqu'elles se rapportent à une activité normale et courante
  • des refacturations de frais inscrites en compte de transfert de charges


2/ Etablir le montant de la valeur ajoutée

La valeur ajoutée sera la différence entre :


  • le chiffre d'affaires calculé précédemment
  • les autres produits de gestion courante sauf ceux déjà pris en compte dans le chiffre d'affaires, diminués des quotes-parts de résultat sur les opérations faites en commun.
  • la production immobilisée, uniquement à hauteur des charges déductibles de la valeur ajoutée
  • les subventions d'exploitation et abandons de créances à caractère financier, uniquement pour la part déductible des impôts de la personne qui les consent
  • la variation positive des stocks
  • les transferts de charges déductibles de la valeur ajoutée, à l'exception de ceux déjà pris en compte dans le chiffre d'affaires


Et :

  • les achats stockés de matières premières et autres approvisionnements, les achats d'études et prestations de services, les achats de matériel, équipements et travaux, les achats non stockés de matières et fournitures, les achats de marchandises et les frais accessoires d'achat, diminués des rabais, remises et ristournes obtenus sur achats
  • la variation négative des stocks
  • les services extérieurs diminués des rabais, remises et ristournes obtenus, à l'exception des loyers ou redevances afférents aux biens corporels pris en location ou en sous-location pour une durée de plus de six mois ou en crédit-bail ainsi que les redevances afférentes à ces biens lorsqu'elles résultent d'une convention de location-gérance ; toutefois, lorsque les biens pris en location par le redevable sont donnés en sous-location pour une durée de plus de six mois, les loyers sont retenus à concurrence du produit de cette sous-location. Les loyers sont exclus afin de ne pas pénaliser les redevables qui décident d'acquérir les biens et qui ne pourraient pas déduire de loyers
  • les taxes sur le chiffre d'affaires et assimilées (hors TVA), les contributions indirectes, la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques
  • les autres charges de gestion courante, autres que les quotes-parts de résultat sur opérations faites en commun
  • les abandons de créances à caractère financier, à la hauteur du montant déductible des résultats imposables à l'impôt sur le revenu ou à l'impôt sur les sociétés
  • les dotations aux amortissements pour dépréciation afférentes aux biens corporels donnés en location ou sous-location pour une durée de plus de six mois, donnés en crédit-bail ou faisant l'objet d'un contrat de location-gérance, en proportion de la seule période de location, de sous-location, de crédit-bail ou de location-gérance ; ces dispositions ne s'appliquent pas en cas de contrats de sous-location de plus de six mois lorsque le dernier sous-locataire n'est pas assujetti à la cotisation foncière des entreprises
  • les moins-values de cession d'éléments d'immobilisations corporelles et incorporelles, lorsqu'elles se rapportent à une activité normale et courante.


Le montant ainsi obtenu est celui qui devra figure sur la déclaration 1330 CVAE et la colonne B des déclarations 2033E et 2059E.


Plus d'infos :
  • Article 1586 sexies du CGI
  • Transformation de la cotisation minimale de taxe professionnelle en cotisation sur la valeur ajoutée Droit Fiscal n°1, 7 janvier 2010
  • Commentaire des principales dispositions de la loi de finances pour 2010 et de la loi de finances rectificative pour 2009, Gazette du Palais, 27 février 2010, n°58, p.13
  • Dossier DO n°10, Déclaration des résultats des entreprises n°716 et s. (2059E) et n°904 et s. (2033E)
  • Feuillet rapide fiscal 11/10 du 29 mars 2010, n°415 et s. (2059E) et n°564 et s. (2033E)
  • Tableau 2059 : déterminer la valeur ajoutée produite , Revue fiduciaire comptable, avril 2010 p.17


Sujets sur le forum :
Taxe pro et calcul de la valeur ajoutée
Liasse fiscale 2033 e/2059 e calcul de la valeur ajoutée
valeur ajoutée
liasse 2033e
2033e




"Halte aux fraudes" de Olivier GALLET
Ouvrage disponible sur la boutique du forum


« Le guide pour auditeurs et dirigeants » en dit assez long sur les personnes concernées par cet ouvrage, intitulé « Halte aux fraudes ». En effet, c'est un des tout premiers livres ayant pour thème la fraude, sur le marché français, lors de sa première parution en 2005. A la suite des évènements que chacun connaît et afin de réactualiser cet ouvrage, il a été remis au goût du jour cette année.

Olivier Gallet, son auteur, s'applique à expliquer dans ce livre, les fondements mêmes, de la fraude. Il met davantage le point sur l'aspect théorique, même s'il y a la présence d'exemples concrets permettant au lecteur de visualiser clairement, les explications données.

C'est ainsi qu'il va aborder la fraude dans un premier temps en mettant les dirigeants devant une évidence même : la confiance accordée aux différentes parties prenantes. Bien souvent, c'est un excès de confiance envers certaines personnes, combiné à une ou plusieurs failles dans l'organisation, et c'est la structure entière qui en subit les conséquences à plus ou moins long terme. Cela pouvant aller, jusqu'à la remise en question de sa pérennité.

Olivier Gallet étudie dans une seconde partie les différents processus internes et externes, afin d'y détailler les fraudes possibles. Tout y est analysé point par point, et le contenu est réellement des plus intéressants. Il y ajoute même un QCM en fin de partie. Chose peu banale pour ce genre d'ouvrage.

En toute logique, l'auteur aborde ensuite l'aspect détection, mais aussi l'aspect préventif de la fraude. Il va même jusqu'à expliquer en quoi le recrutement peut être considéré, comme la source même d'une partie des fraudes. Et c'est là que l'on s'aperçoit que l'auteur maîtrise bien son sujet. Il va analyser le profil du fraudeur, même s'il n'y a pas réellement de « profil type ».

Puis, Olivier Gallet étudie une quatrième et dernière partie, sur les conseils et programmes pour lutter contre la fraude. Il en fait une analyse très complète. Il insère au fur et à mesure, des tableaux et schémas servant d'explication au dirigeant, voire de support à l'auditeur. Il est intéressant de noter que cet ouvrage tient compte des normes d'exercice professionnel NEP 240, en vigueur depuis 2007. Il aborde un large chapitre à détailler cet aspect dans le travail de l'auditeur.

Malgré un contenu très intéressant et qui montre la connaissance d'Olivier Gallet sur ce thème, ainsi que l'énorme travail de recherche effectué, il y a quelques remarques à noter.

Tout d'abord, il est dommage de voir que les références au Code du travail, notamment dans la première partie, n'ont pas été mises à jour. Pourtant le nouveau Code du travail est en vigueur depuis le 1er Mai 2008.

Ensuite, il y a quelques petites erreurs (fautes d'orthographes, fautes de frappe) tout au long de l'ouvrage. Même si ce n'est pas bien gênant, cela n'empêche qu'un ouvrage lors de son édition, se doit d'être irréprochable de ce point de vue là.

En tous les cas, ces quelques remarques, n'enlèvent en rien la qualité de ce livre. Comme chacun l'aura compris, il est des plus intéressants. Cette nouvelle édition actualisée était une quasi-nécessité, d'autant plus au vu du contexte économique.

Conclusion : Un très bon ouvrage qui se lit très rapidement, une fois commencé. A recommander.


Ouvrage disponible sur la boutique du forum

 



SMIC au 01/01/10
  • Horaire : 8.86€
  • Mensuel (35h) : 1343.77€

Stages en entreprise (plus de 2 mois)
  • Gratification mensuelle : 417.10€

Plafond sécurité sociale 2010
  • Annuel : 34 620€
  • Trimestriel : 8 655€
  • Mensuel : 2 885€
  • Hebdomadaire : 666€
  • Journalier : 159€
  • Horaire : 22€

Les taux de cotisations (régime général)
  • Part patronale : PP
  • Part salarial : PS

URSSAF
  • Maladie maternité PP : 13.10% PS : 0.75%
  • Allocations familiales PP : 5.40%
  • Accident du travail (Expert-comptable) PP : 1.10%
  • Vieillesse non plafonnée PP : 1.60% PS : 0.10%
  • Vieillesse plafonnée PP : 8.30% PS : 6.65%
  • FNAL PP : 0.10% PP +20 sal : 0.40%
  • CSG PS : 7.50%
  • CRDS PS : 0.50%

POLE EMPLOI
  • Assurance chômage : PP : 4.00% PS : 2.40%
  • FNGS PP : 0.40%

Cotisations de retraites
Non cadres :
  • Tranche 1 : PP : 4.50% PS : 3%
  • Tranche 2 : PP 12% PS : 8%
  • AGFF Tranche 1 : PP : 1.20% PS : 0.80%
  • AGFF Tranche 2 : PP : 1.30% PS : 0.90%
Cadres :
  • ARRCO : PP : 4.50% PS : 3%
  • AGIRC : PP : 12.60% PS : 7.70%
  • CET : PP : 0.22% PS : 0.13%
  • Cotisation décès : PP : 1.50%
  • Cotisation APEC : PP : 0.036% PS : 0.024%
  • GMP : 62€
  • Forfait annuel APEC : PP : 12.46 PS : 8.31
  • AGFF Tranche A : PP 1.2% PS : 0.8%
  • AGFF Tranche B : PP : 1.3% PS : 0.9%

Cotisations de retraites (plafonds)
  • ARRCO : 8655€
  • AGIRC tranche B : 11 540€
  • AGIRC tranche C : 23 080€

Limites d'exonérations
  • Licenciement (hors PSE)
    Choisir le montant le plus élevé dans la limite du maximum
    • 50% de l'indemnité
    • 2 fois la rémunération des 12 derniers mois
    • Maximum : 207 720€
  • Mise à la retraite
    Choisir le montant le plus élevé dans la limite du maximum
    • 50% de l'indemnité
    • 2 fois la rémunération des 12 derniers mois
    • Montant légal ou prévu par une convention collective ou un accord
    • Maximum : 173 100€
  • Accord GPEC : 138 480€
  • Parachutes dorés : 1 038 600€

Tarifs du RCS
  • Extrait K-bis : 3.11€
  • Dépôt des comptes : 46.32€
  • Immatriculation (création) : 62.19€
  • Immatriculation (société) : 83.96€

Divers
  • Retraite complémentaire de l'expert-comptable libéral - Classe A : 480€
  • Taux d'intérêt légal : 0.65%
  • Taux d'usure (prêts aux entreprises) : 13.33 % (2ème trimestre 2010)
  • Indice de référence des loyers
    (1er trimestre 2010) : 117.81
  • Intérêts des comptes courants d'associés - Clôture entre le 30 avril et le 29 mai : 4.26%



15/05/10   Déclaration d'échange de biens (DEB)
15/05/10   DES - Déclaration européenne des services
15/05/10   Déclaration commune des revenus 2009 - version électronique
15/05/10   Contribution Sociale de Solidarité des Sociétés (C3S)
15/05/10   Cotisations sociales - URSSAF et Pôle Emploi (Décalage de la paie)
15/05/10   Cotisations sociales - URSSAF et Pôle emploi
17/05/10   TVA et Taxes assimilées - Régime réel normal - Acomptes provisionnels
17/05/10   Solde de l'IS - Exercices clos le 31 janvier 2010
17/05/10   RCM Prélèvement Libératoire - Déclaration simplifiée
17/05/10   RCM Prélèvement libératoire - Déclaration normale
17/05/10   Retenue à la source (rémunérations)
17/05/10   Taxe sur les salaires - Déclaration mensuelle
17/05/10   Contribution sur les revenus locatifs - Sociétés à l'IR - Exercice clos le 31 mai 2010
17/05/10   RCM - Retenue à la source - Titres d'emprunts négociables émis avant le 1er janvier 1987
17/05/10   TVA et taxes assimilées - Régime réel normal (ou réel simplifié sur option)
19/05/10   Entreprises de travail temporaire
19/05/10   Déclaration des résultats - Procédure TDFC
19/05/10   TVA et Taxes assimilées - Régime réel normal - Acomptes provisionnels
19/05/10   TVA et taxes assimilées - Régime réel normal (ou réel simplifié, sur option)
19/05/10   TVA et Taxes assimilées - Assujettis de l'UE identifiés à la TVA en France
20/05/10   TVA et Taxes assimilées - Régime réel normal - Acomptes provisionnels
20/05/10   TVA et taxes assimilées - Régime réel normal (ou réel simplifié sur option)
21/05/10   TVA et Taxes assimilées - Régime réel normal - Acomptes provisionnels
21/05/10   TVA et taxes assimilées - Régime réel normal (ou réel simplifié sur option)
25/05/10   Cotisations sociales - URSSAF et Pôle emploi
25/05/10   TVA et taxes assimilées - Régime réel normal (ou réel simplifié sur option)
25/05/10   TVA et Taxes assimilées - Régime réel normal - Acomptes provisionnels
31/05/10   Sociétés soumises à l'IS - Clôture au 28 février 2010 - Déclaration des honoraires, commissions, droits d'auteurs versés
31/05/10   Retenue à la source - Bénéfices de sociétés étrangères hors UE - Exercice clos le 28 février 2010
31/05/10   TVA - Régime de la franchise en base - Option pour le paiement
31/05/10   IRPP - Déclaration des revenus - support papier
31/05/10   BIC - Régime des micro-entreprises - BNC - Régime déclaratif spécial
31/05/10   Déclaration de résultats - Réel normal - Exercices clos le 28 février 2010
31/05/10   Déclaration de résultats - Réel Simplifié - Exercices clos le 28 février 2010
31/05/10   TVA - Régime simplifié d'imposition - Exercice clos le 28 février 2010
05/06/10   Cotisations Sociales - URSSAF et Pôle Emploi
05/06/10   RSI - Fraction mensuelle
08/06/10   DIRECCTE - Mouvements de personnel
10/06/10   Pré-inscription au DSCG
10/06/10   Déclaration des revenus (internet)
11/06/10   DES - Déclaration européenne des services
11/06/10   Déclaration d'échange de biens (DEB)
15/06/10   TVA et taxes assimilées - Régime réel normal (ou réel simplifié sur option)
15/06/10   CVAE - Relevé d'acompte
15/06/10   Impôt de solidarité sur la fortune
15/06/10   Contribution sur les revenus locatifs (CRL) - Sociétés soumises à l'IS
15/06/10   Taxe sur les surfaces commerciales ou TASCOM
15/06/10   TVA et Taxes assimilées - Régime réel normal - Acomptes provisionnels
15/06/10   Cotisations sociales - URSSAF et Pôle emploi
15/06/10   RCM Prélèvement Libératoire - Déclaration simplifiée
15/06/10   Solde de l'IS - Exercices clos le 28 février 2010
15/06/10   IS - Relevé d'acompte
15/06/10   RCM Prélèvement libératoire - Déclaration normale
15/06/10   Retenue à la source (rémunérations)
15/06/10   Taxe sur les salaires - Déclaration mensuelle
15/06/10   Déclaration des résultats - Exercice clos le 28 février 2010 - Procédure TDFC
15/06/10   Contribution sur les revenus locatifs - Sociétés à l'IR - Exercice clos le 30 juin 2010
15/06/10   Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises - Déclaration papier
15/06/10   Cotisation foncière des entreprises
15/06/10   Cotisations sociales - URSSAF et Pôle Emploi (Décalage de la paie)
15/06/10   RCM - Retenue à la source - Titres d'emprunts négociables émis avant le 1er janvier 1987



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