Selon le baromètre éthique, réalisé par BVA :
- 54% des entreprises disposent d'un dispositif d'alerte ;
- 90% des salariés se disent prêts à s'en servir.
Dix ans après la loi américaine, Sarbanes-Oxley, il semble que la dénonciation de comportements fautifs soit rentrée dans les moeurs même si beaucoup considèrent encore que la dénonciation ne fait pas partie de la mentalité française.
88% des salariés considèrent que leur entreprise est capable de régler les problèmes d'éthiques.
Les salariés témoins de fraude dénoncent, dans l'ordre de préférence :
- à leurs collègues ;
- à leur supérieur hiérarchique ;
- au déontologue ;
- au responsable RH ;
- aux syndicats.
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