Bonsoir PetitMaurice,
Géniaal !! FELICITATION, très bonne nouvelle, ça me donne envie d'y arriver! J'ai cru entendre que le sujet de cette année en U2 était hard en plus, bravo !
Une page se tourne (une encyclopédie même) très contente pour toi !
Finance c'est un peu ma bête noire, ayant été dispensée en DCG (par le BTS) si tu as des astuces pour bien la travailler je suis preneuse.
Pour Eric51, je pense que quelqu'un d'autre t'apportera une réponse pertinente. A titre personnel je pense que c'est plus le travail dans le mémoire et la présentation de celui-ci à l'oral qui seront valorisés et non le thème en lui même.
Mon enseignante en U7 nous a fortement recommandé de ne pas prendre un thème lié à "la digitalisation" ou "aux nouvelles technologies" vu qu'ils ont été surexploités et que ce n'est plus d'actualité (apparemment), mais s'il n'y a pas le choix autant avancer sur ça et le faire bien (inconvénient majeur : trouver une problématique à soulever..)
Chapeau bas pour avoir bouclé 6 UE du DSCG en travaillant et en 6 mois..
Bon courage à tous, bien vu Petitmaurice il faut le vivre pour savoir à quel point c'est prenant !!
AYLEY
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AYLEY,
Bonjour,
Je n'aimais pas non plus trop la Finance comme toi mais j'ai dû faire un gros effort dans ce sens vu que c'est la matière qui bloquait. J'ai préparé cette UE à partir des supports de cours de l'INTEC (j'avoue que je n'ai pas eu le temps pour apprendre réellement les 4 séries de cours de l'INTEC). J'ai donc passé l'examen de l'INTEC en juin avec le pic des activités dans mon cabinets (Conseils d'Administration, Assemblées Générales) sans vraiment m'être préparée et j'ai eu 5.5.
Pour l'État, j'avais décidé de faire un gros effort et de me mettre en condition d'examen en faisant les annales de l'INTEC et ceux de l'ETAT. Sur les 1 mois que j'avais pris (congé), les 2 premières semaines ont été consacrée à lire les cours et apprendre les formules clés tout en m'entrainant à faire quelques exercices de révisions de l'INTEC. Après cela, j'ai fait et refait certains sujets d'examen à 2 semaines de l'examen, ceci afin de maitriser les exigences de l'examen en terme de temps et de raisonnement. Bien sûr, il m'arrivait plusieurs fois de me reporter aux corrigés afin d'avancer lorsque j'étais bloqué. A l'examen, je n'ai pas perdu du temps sur les questions qui pouvaient bloquées, je laissais une demi page lorsqu'une question, commencée, bloquait.
J'ai tout fait pour rédiger la dissertation à 30 mn de la fin qui, si un effort est fait, peut rapporter quelques précieux points 1 ou 2 points sur 5 par exemple.
Je pense que pour arriver en finance qui est très technique, il faut bien maitriser les principales formules. J'avais, pour cela, fait un petit récap des principales formules. Il faudrait aussi apprendre à rédiger la dissertation.
Comme dit dans l'un de mes posts, le fait pour moi, de préparer l'examen sur 1 mois à partir de mi septembre, à un gros inconvénient, mais dans ton cas, il te reste encore 9 mois d'effort, ce qui est assez suffisant.
Cordialement
Bonjour Eek13012,
Dans un précédent post je précisais vouloir reprendre les études pour le DSCG et me voilà que j'ai changé de voie en cours de route ou de doute "pécuniaire "!!
J'ai actuellement accepté par défaut un emploi dans un cabinet, car être embauchée pendant la période fiscale ne me laissait pas présager un accompagnement comme je l'entendais.
Eek13012, j'ai besoin de votre regard et votre expérience à vos débuts dans le métier. J'ai intégré ce poste toujours avec cet objectif de passer le DSCG en 1 ou 2 ans dès septembre 2019, mais voilà que les tâches confiés me semblent peu spécifiques, alors j'ai bien la sensation que le virage choisi ne me satisfait pas.
L'impression que mon employeur exploite mon expérience et je n'en tire rien (perspective d'évolution et formation non annoncée), car de mon coté les bases du métier je pense les connaître, j'ai donc aucun plaisir à faire le travail attendu à ce stade (Dossier avec beaucoup de tri, trop confus/aucun feedback, les consignes et explications peu claires). Les tâches à réaliser dépourvues d'intérêts : Saisie, classement avec un niveau équivalent à celui d'un DCG1 en alternance qui travail avec moi, tâches non spécifiques, la surprise de la tenue du secrétariat, j'aurais préféré être prévenu dès le départ, le sentiment d'être livré à moi même m'empare !
Néanmoins, lors de votre reconversion, vous disiez " qu'il faut savoir faire des concessions sur le travail donné au début ".
De mon coté j'ai 12 ans d'expérience de comptable en entreprise et 2 ans fragmentés en cabinet, je reconnais manquer de rendement en cabinet sur les tâches peu significatives, est-ce la tâche qui me rebute ou la crainte que l'on m'a embauché précisément pour ce type de tâches, je ne pensais pas devoir repartir de la base et n'être qu'une opératrice de saisie, un apprenti !
J'attends tellement d'un cabinet, qui veuille bien m'offrir des missions proches de l'expertise comptable (liasses, prévisionnel, tva) mais à chaque passage en cabinet le même scénario se produit, tout ça me laisse penser que seul le DSCG me permettrait d'exercer des missions intéressantes lors de l'intégration du stage d'expertise comptable.
Alors voilà que dois-je faire, rester dans un emploi en espérant une hypothétique montée en compétence en fonction des tâches qui me seront confiés et envisager le DSCG en candidat libre, (le rythme de travail m'inquiète déjà, j'ai deux enfants) or la cadence de production attendue est intensive, très chronophage à mon sens non compatible avec une vie de famille et une formation.
Que faire, un sacrifice familiale pour un avenir résolument tourné vers un métier que j'ai toujours voulu exercer, le jeu en vaut-il la chandelle car à me demander la tenue du standard c'est que l'on ne se projette aucunement avec moi !
Je vous remercie d'avance, j'espère ne pas abuser car ma demande relève plus d'une analyse que d'un simple conseil à une étudiante d'un âge avancé.
Prenez soin de vous en ces temps de crise sanitaire.
Bonjour Yotanka,
Je te remercie pour ta réponse, effectivement je me pose des questions car ma volonté est de monter en compétence et non pas devoir faire marche arrière sur mon parcours professionnel.
Je ne pense pas que la comptabilité soit ma passion, toutefois la diversité des disciplines offertes par notre profession permet de se porter vers une spécialisation ou la mise en oeuvre d'une pluridisciplinarité, ce qui est pour moi l'atout dans se métier, pouvant se compléter par le panel des dossiers à traiter d'où la question de compétences transversales dans la tenue comptable.
Le classement et la saisie sont les bases je le conçois, ce que je dis est simplement au bout de combien de temps et de discipline ardue nous pouvons prétendre à d'autre aspect plus épanouissant du métier et tu parles d'un aspect essentiel "confiance entre eux et les experts", je ne suis pas encore à ce stade de mon embauche.
Pardon si je me suis mal exprimé, mais l'incompatibilité de l'association études, temps plein et vie de famille viendrait d'une gestion organisationnelle personnelle des plus complexe pour me mener vers la réussite du DSCG.
Mon expérience me fait dire qu'il faut être curieux au début et ne pas hésiter à aller vers les collaborateurs sinon c'est l'inertie parce qu'au début de mon parcours pro j'avais employé la même stratégie que toi : "trouver des réponses par moi-même" parce que c'est un peu aussi dans mon tempérament,
L'autonomie en cabinet je cherche à l'atteindre, avec une collaboration d'équipe c'est mieux à mon sens.
je tiens à te remercier de t'être arrêté sur mon post et de m'avoir fait part de ton expérience.
Je te souhaite une belle réussite dans ton parcours de formation!
Djamella
THE END OF THE STORY
Bonjour à tous,
Après des études de droit (Master 2 droit des affaires et fiscalité), une école de commerce et une année linguistique aux États-Unis, j'ai eu l'immense opportunité d'intégrer un BIG 4 en 2006.
Grâce à cette expérience, j'ai travaillé dans le conseil fiscal pendant 5 années à l'étranger. Puis, en 2012, j'ai saisi l'opportunité d'un poste de Directeur juridique - toujours à l'étranger - à la holding d'un groupe bancaire. Cette expérience a duré 4 ans.
A la fin de mon contrat en décembre 2015, j'ai dû rentrer en France. A 36 ans, l'essentiel de mon expérience s'était effectuée à l'étranger et je n'étais manifestement plus considéré comme adapté au marché français.
Après avoir consulté ce site et l'expérience d'Adrien, j'ai donc entrepris de préparer un DSCG sur un an en septembre 2016. Si quelqu'un est intéressé, je décris plus haut sur ce forum comment j'ai réussi à décroché le diplôme en décembre 2017.
Je souhaitais aujourd'hui compléter mon témoignage car, depuis vendredi 8 janvier 2021, j'ai décroché mon DEC !
De la prise de décision initiale jusqu'à la publication des résultats, cela m'aura pris 4 ans et 4 mois. J'aurais théoriquement pu faire plus court si la cession de mai 2020 n'avait pas été annulée mais, soyons honnête, je n'aurais probablement pas pu terminer mon mémoire à temps.
Obtenir le DSCG a été une étape cruciale et difficile mais les difficultés ne se sont pas arrêtées là pour moi. A 37 ans, il m'a fallu trouver un maître de stage et les opportunités ne se sont pas bousculées pour moi. J'en n'ai eu qu'une seule et je l'ai saisie.
Malheureusement, ce premier maître de stage n'était pas habilité CAC (je devais me déplacer à 200 km pour faire mes heures CAC chez un autre professionnel), il me formait très peu voire pas du tout, et faisait preuve de très peu de réactivité pour valider mes rapports de stage et journées de formation obligatoires. Après 17 mois de stage, j'ai décidé de changer. Mon deuxième maître de stage était un jeune diplômé. J'ai pu faire valider mes 4 rapports, mes heures de formation et de CAC restantes en moins de 7 mois.
Quand j'ai sollicité auprès de mon Conseil Régional mon attestation de fin de stage. Celle-ci m'a été refusée (pour des motifs administratifs infondés). J'ai dû entreprendre de porter mon cas devant le Conseil supérieur des experts-comptables à Paris et j'ai gagné ! Mon Conseil Régional a été forcé de reconnaître ses négligences dans le traitement de mon dossier. Avec tous les écrits que j'ai dû rédiger, ils m'ont fait perdre du temps et une énergie non chiffrables en pleine période fiscale... J'ai donc obtenu mon attestation de fin de stage aux forceps !
J'ai ensuite sollicité une première demande d'agrément pour mon mémoire. J'ai obtenu un 4.2 c'est-à-dire que le sujet peut être conservé mais qu'il doit être retravaillé. Compte tenu des commentaires envoyé par le membre du jury, j'ai compris qu'il ne faisait preuve d'aucune compétence en la matière et que la soutenance allait s'en trouver fortement compromise étant donné que l'examinateur ne "pipait" rien à ce qu'il pensait maîtriser.
Il s'agissait en effet d'un sujet de droit fiscal international (expérience de 9 années pour moi) et ses commentaires laissaient fortement supposer que non seulement il était incompétent mais aussi que la discussion ne permettrait aucunement de "faire jaillir la lumière".
J'ai donc décidé de modifier mon sujet et de proposer une autre demande d'agrément à un autre jury qui m'a été accordée. Quand vous sentez que le correcteur n'est pas sur la même longueur d'onde, je vous recommande d'en changer pour restreindre les potentiels désagréments le jour de l'oral. Bien évidemment, ce n'est qu'un avis et ce n'est pas une règle qui s'applique à 100% mais, pour moi, agir ainsi a été fructueux.
S'en est suivie la rédaction du mémoire qui m'a pris 30 jours, soit l'intégralité de mes congés avec deux nuits blanches pour pouvoir finir dans les délais.
Au 31 août, j'ai déposé mon mémoire et ce fût un grand soulagement. A compter de cette date, il fallait préparer la déontologie (épreuve 1) et la révision (épreuve 2). Deux mois de révision tous les soirs se sont enchaînés.
En novembre 2020, une semaine avant l'examen, le gouvernement annonce les nouvelles mesures de confinement et la plupart des trains SNCF sont annulés. J'ai réussi à avoir une place dans le seul train qui partait la veille des examens. J'ai passé les écrits le lundi puis l'oral le vendredi en restant toute la semaine à Paris avec un sentiment mitigé à la fin des épreuves.
Vendredi 8 janvier 2021, les résultats du DEC 2020 sont tombés. A 40 ans, j'ai obtenu mon DEC. Ce fût un parcours du combattant mais rien n'est impossible pour celui qui est déterminé. Comme pour tout examen, il y a aussi un soupçon de chance, il faut le reconnaître.
DSCG 2017 puis DEC 2020 !
Un immense merci à toi Adrien pour avoir ouvert et animé ce forum. Ton expérience m'a fortement inspiré et je t'en remercie infiniment.
Alexandre
Bonjour Alexandre,
Félicitations pour vous! un parcours professionnel impressionnant! c'est super encourageant pour moi. J'ai suivi un autre parcours aussi atypique. Chinoise, biologiste en recherche. 2003 arrivée en France, j'ai commencé par apprendre le Français, et puis obtenir un master en cytologie en France, être femme au foyer pendant 5,6 ans pour élever mes 2 enfants.... et DCG, CCA, DSCG validés, maintenant en janvier 2021, à 44 ans, je suis en 2eme année de stage d'DEC. les 2 ans qui me reste ne seront pas faciles, mais j'y crois!!!
Bon courage à tous!
La barrière du DSCG est franchie ! Bravo ! L'étape la plus difficile techniquement. Vous voilà partie pour la course de fonds du stage. Si je comprends bien, il vous reste encore un an. Je vous recommande d'ores et déjà de tenter une première demande d'agrément pour faire valider votre sujet de mémoire. L'agrément nécessite beaucoup d'heure de travail. N'hésitez pas à commencer de suite. Pour ma part, j'avais beaucoup misé sur le mémoire et je n'ai eu que 11/20, donc très peu de points d'avance m'ont été accordés. Il s'agit probablement d'une note correcte pour un mémoire écrit en 30 jours. Mais attention, l'épreuve de révision est très difficile. Il faut beaucoup de maturité professionnelle pour la réussir (ce que je n'avais pas nécessairement en comptabilité/audit). Clairement ici, je visais le 6/20 et j'ai eu 7,5. Un 17 en déontologie m'a permis de valider le diplôme.
Une bonne préparation du mémoire est donc primordiale d'autant plus que les examinateurs, pour la plupart, ne lisent pas les mémoires. Par contre, ils sont très attentifs aux règles de forme. Pour ma part, je les ai trouvé très faibles techniquement. Je disposais de 9 ans d'expérience (notamment chez un BIG 4) en fiscalité internationale donc, de ce côté-là, j'étais relativement serein. Même ignorants, les membres du jury gardent tout de même leurs préjugés sur le sujet. Quand vous arrivez à la soutenance, ils ont déjà un apriori et c'est très difficile d'inverser la tendance. Pour ma part, j'ai vu sur mémoireonline des sujets similaires aux miens qui avaient obtenu plus de 13 sur 20 et qui étaient traités de manière très médiocre. Il m'a été reproché un sujet trop juridique et pas assez "expertise-comptable" alors que rien n'exige cela dans les notes du jury ou dans la réglementation de l'examen. Bref, chaque examinateur a sa propre vision de l'examen ce qui le rend fortement aléatoire à l'oral selon moi. Les outils en revanche sont très appréciés.
Dernier point, j'ai trouvé que les experts-comptables - et cela s'est confirmé le jour de ma soutenance - n'arrivent pas à décroche de leur mission essentielle de "production de bilans". Il existe pourtant de multiples "boulevards" pour diverses missions de conseil. Mon jury est resté complètement hermétique à cette vision du métier. Ils sont restés sur des visions qui me semblent archaïques de la profession. L'innovation (ou une vision nouvelle du métier) est donc à double tranchant sur cette épreuve.
Cela reste toutefois une magnifique aventure. Elle vous façonne.
Bon courage à vous pour la suite,
Alexandre
Bonjour à tous,
Félicitation pour les nouveaux diplômés issus d'une reconversion.
Je suis content que mon post initial en 2013 ait permis à d'autres aussi de se lancer dans l'aventure de la reconversion. Je vois que nos difficultés ont (sont toujours) les mêmes : trouver un cabinet qui ose prendre un candidat en reconversion. C'est dommage car notre expérience, même sur un autre secteur, notre sérieux et notre motivation (on en a bavé pour passer le DSCG), ce sont des éléments qui font pourtant la différence.
Les mentalités changeront peut être un jour.
Pour les mésaventures sur le mémoire d'Alexandre, ce sont effectivement "les risques du métier". Un candidat "vieux" qui un sujet très technique et atypique pourra avoir plus d'expérience que le jury lui-même. Faut savoir "faire le dos rond". Personnellement, j'étais aussi sur un sujet un peu atypique et le jury m'a posé des questions pas tout à fait sur mon sujet ... un poil à côté en fait. Ils ne m'en ont pas tenue rigueur dans la note. L'important, c'est le diplôme !!!
Félicitation à tous !!!
Après avoir ramé plusieurs années pour votre reconversion, ce seront de belles vacances "scolaires" maintenant ... mais pas professionnelles !!!
Adrien
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