A la recherche d'une clientèle et ayant une cible en vue, je me demande sur quelle base dois je faire mon évaluation. En considérant que 100% des mandats resteront dans le cabinet pendant au moins 5 ans (hypothèse simplificatrice), voyez vous une méthode d'évaluation simple ? On parle souvent de 1 à 1,2 fois le CA de la dernière année mais doit on pondérer les commissariat aux comptes un peu plus et l'expertise un peu moins par exemple ?
Sur quelles multiples ? 1 ou 1,2 ou 1,4 ?
Si vous avez de récentes expériences vécues, n'hésitez pas à m'aiguiller par la messagerie privée. Discrétion assurée !
Je vous conseil de vous rapprocher de l'anecs ou le cjec. L'Ifec a je crois de la doc sur la question.
L'évaluation de la clientèle se fait de la même façon qu'une autre entreprise. Le coefficient à appliquer au CA est déterminer en fonction de nombreux facteurs.
Celà dit, la demande étant supérieur à l'offre, il y a bien souvent des cabinets minables qui se vendent à des prix d'or. Il faut bien souvent s'attendre à d'importantes dépenses avant de trouver le seuil de rentabilité.
J'ai récemment vu un cabinet ou les collaborateurs avaient quasiment tous plus de 30 ans d'ancienneté et des salaires tous supérieurs à 5000 ¤. La moitié ne savait pas se servir d'un ordinateur et travail à l'ancienne. En plus, jamais formés, ils avaient des lacunes importantes. Les locaux,vétustes, loués à prix d'or par l'ancien EC propriétaire des murs.
Des clients mécontants et une baisse constante du CA sur les dernières années.
Une petite question concernant le rachat de clientèle.
Nous avons racheter la clientèle d'un confrère au 01/01/2009, nous avons l'intégralité des lettres de mision,
lors du rachats nous avions informé les clients que suite à la fermeture du cabinet X, nous reprenions la suite à compter de. Hors à ce jour certain clients souhaite nous quitter sous prétexte, que nous n'avons pas établi de lettre de missions.
Ma question est simple, lors d'un rachat les lettres de missions continu sur la base des même terme ? Il n'y pas d'obligation à mon sens d'établir un nouveau contrat, tous comme les salarié ou leur contrat de travail on continuer à s'appliquer.
Pour répondre à Prosoert, mon cabinet a racheté un cabinet de petite taille et je n'ai pas entendu parler de nouvelles lettres de missions effectuées.
Je pense comme vous à savoir, que tant que la cadre d'intervention ne change pas, par exemple, mission de présentation, il n'y a pas lieu de refaire une lettre de mission.
Après , il peut y avoir de la déperdition de clientèle dans le sens où il y a un changement de personnes.
Mon cabinet avait porté une attention particulière pour que le changement se fasse très en douceur.
Ce n'est que ma maigre expérience sur le sujet, mais je pourrais me renseigner un peu.
Merci de ta réponse, je souhaiterais juste ajouter, que nous avons aussi repris une parti du personnel conformément à la législation en vigueur, celui-ci était affecter au dossier repris.
Donc il n'y a pas eu de changement d'interlocuteur, mise à par l'expert et moi même qui suis chef de mission.
Etant donné que les lettres de missions était conclu pour 3 ans terme 31/12/2010, et renouvelé par la suite pour une année par tacite reconduction sauf dénonciation 3 mois avant le terme, je serait en droit de facturé l'intégralité des honoraires de 2010 ? De plus aucun n'a respecté le préavis de 3 mois puisque nous avons reçus les AR entre le 10 et 24 décembre 2009.
Prosoert, je pense que la lettre de mission non refaite est une excuse. Plutôt que de vous focaliser la-dessus, il vaudrait mieux connaitre la vrai raison pour ces clients de changer de cabinet. De plus, un client retenu contre son gré est un mauvais client qui donnera ces documents avec retard ou partiellement d'où une rentabilité minable sur le dossier et qui en plus fera une mauvaise pub. Normalement, dans le contrat de rachat, vous avez dû prévoir ce cas.
Pour compléter l'histoire, lors du rachat nous avons informé les clients par courrier en leurs expliquant que si il le souhaitait nous établirions une nouvelle lettre de mission au nom de notre cabinet, et que sans réponse de leur part la lettre de départ continuait à courir dans les mêmes conditions. Il non pas répondu au courrier.
Les raisons de leurs départs (motifs exposés par les clients), problème avec le RSI (comme beaucoup d'entre vous je présume), incompréhension de leurs résultats trimestriel, et ce malgré plusieurs interventions de ma part pour leur expliqué leur résultat d'exploitation, changement régulier de collaborateur (1changement en 4 ans), et d'autres motif tous aussi futile (avis personnel).
Dans tous les cas je suis bien d'accord, tibo, mieux vaut les laisser partir, et c'est ce que nous allons faire, mais étant donné leur mauvaises fois, nous ne pouvons en rester là.
Pour ma part, je pense que ces départs sont liés au licenciement d'un collaborateur courant octobre, pour détournement de clientèles, nous le soupçonnons d'ailleurs d'avoir récupéré ces clients à son compte, en statut d'autoentrepreneur.