Comme certains d'entre vous l'épreuve de Révision Légale de mardi ne m'a réussi. Je sais que je vais représenter cette épreuve en Novembre
Je vais mettre un post pour proposer une préparation en groupe de l'épreuve de Révision légale. Je sais qu'il est un peu tôt, mais il y a une telle masse de connaissances à maîtriser...
Bonjour à tous ! Pour ma part, le sujet de l'épreuve de révision légale était trop long....On ne nous laisse pas le temps de la réflexion. Il faudrait lire attentivement le sujet, décoder les pièges (qui ne sautent pas forcément aux yeux), chercher dans la documentation, préparer une réponse au brouillon en hierarchisant les arguments, conclure pour chaque question....bref c'est trés difficile. Je suis déja à mon deuxieme coup d'essai et pourtant j'ai révisé énormément, travaillé ma doc, je connaissais les pièges et pourtant je me suis planté..... Le deuxieme dossier (comptes combinés des associations) a été encore une fois composé par des énarques..... sans aucun rapport avec la pratique..... Le travaille ne suffit pas pour réussir, il faut avoir de la chance (c'est le cas pour tous les examens et concours)....
Epreuve 1 : l'épreuve était accessible. Mais attention à l'inverse du QCM, la totalité des points sera difficile à avoir à chaque question.
Epreuve 2 : j'ai trouvé la première partie abordable. Les personnes qui pratiquent le commissariat aux comptes ont cette fois ci eu un avantage certain.
Le problème est que cette partie m' a pris énormément de temps.
Quand j'ai commencé la deuxième partie, il était a peu près 12h00. Quand j'ai vu la quantité d'informations à lire, je me suis rendu compte que cela allait être assez dur de finir.
Je n'ai donc pas tout lu. Je pense même que certaines informations étaient inutiles.
La question que je n'ai pas traité est celle relative à la partie chiffrée.
En conclusion, cela reste une épreuve assez difficile.
Je rejoins totalement le post précédent de Rogerludovic.
J'ai également attaqué le dossier sur les comptes combinés de l'association à 12h (j'avais réparti mon temps en fonction du barème), mais c'était sans compter la découverte de pas moins de 6 annexes pour ce dossier-là. Beaucoup trop d'informations à traiter, j'ai bâclé les réponses, tout en m'astreignant à les formuler toutes. Je me suis appliquée sur le dossier 1 mais, ne faisant pratiquement pas de CAC, mes réponses sont très théoriques, et peut-être incorrectes pour certaines. Alors, je reste dans le flou, tout en gardant un petit espoir. Cette épreuve de révision légale est très difficile, la maîtrise du temps et de la documentation est effectivement très importante, beaucoup plus que les connaissances. Si j'avais eu plus de temps, j'aurais fait des recherches sur la gestion transparente des associations (première fois que j'entends cette notion). Que dire d'autre ?
Pour l'épreuve de déontologie, je ne serais pas contre le fait qu'à l'avenir, les formateur se taisent à défaut d'induire les candidats en erreur. Ceci dit, chacun prend ses responsabilités, j'ai pris les miennes en ne me préparant qu'à une épreuve de type QCM. J'ai pu cependant restituer les connaissances acquises pour répondre aux 12 questions, en une heure, c'était également très difficile, pas de brouillon ni de réflexion possible, il fallait tout connaître sur le bout des doigts. Je ne pense pas que les correcteurs exigent les références documentaires, ce serait abusé.
Maintenant, il faut attendre le 28/06/2011, ensuite, nous réfléchirons à la meilleure stratégie pour tenter d'être diplômé début 2012 ! Oui je sais, je suis optimiste !
j'ai également passé l'épreuve de révision légale mardi. C'est la deuxième fois que je passe cette épreuve et j'en sors plus confiant que la dernière fois. Euh...Quoi que... En effet car si j'étais conscient en novembre 2010 de ne pas avoir une bonne note (c'est le moins que l'on puisse dire), pour cette session je ne sais pas trop quoi penser.
Comme beaucoup d'entre vous j'ai trouvé que la première partie était abordable, mais je pense que la facilité de certaines questions n'était qu'apparente et que la première partie était plus difficile qu'elle en avait l'air.
Il y avait pas mal de questions "pièges" et sujettes à interprétation.
Question 1.2 et 1.3 Pensez-vous qu'on parle du commissaire aux comptes nommé pour la transformation ou pour le contrôle des comptes annuels? (en sachant que la norme su la transformation fait référence au commissaire aux comptes pour désigner le commissaire à la transformation)
Question 1.4 fallait-il faire référence à la norme Petites entreprises?
Question 1.5 Parle t-on d'une mission d'audit d'acquisition ou de commissariat aux apports?
Question 1.8 La mission d'attestation est-elle possible dans le cadre d'un audit d'acquisition ? sachant que la ddl acquisition ne prévoit pas l'utilisation de la ddl attestation mais la ddl attestation n'interdit pas de réaliser des attestations dans le cadre d'audit d'acquisition.
Deux jours après l'épreuve et après de nombreuses discussions avec des amis ayant passé l'épreuve, les avis sont toujours partagés.
Concernant le deuxième partie je partage vos avis, la documentation était abondante et le temps restant vraiment très limité, j'ai donc bâclé pas mal de questions.
J'attends donc vos avis et en attendant, bon courage à ceux qui passent le mémoire. Je nous souhaite à tous d'être diplômé.
En réponse à vos interrogations, j'expose ci-après mes impressions :
Questions 1.2 et 1.3 : CAC investi d'une mission légale de certification des comptes (pour moi la question est claire : "du fait de la transformation en SAS, doit-on nommer un CAC"..."dans le cas de la structure juridique choisie, citez les modes de désignation du CAC"...) ;
Question 1.4 : A posteriori, je pense que oui mais je ne l'ai pas fait. J'ai cité NEP lettre de mission et NEP contrôle du bilan d'ouverture (comme une idiote alors que j'avais la doc sur la norme PE mais > stress !) ;
Question 1.5 : à mon sens, la plus ambiguë, chacun l'interprète différemment. Pour moi, il s'agit d'une mission de commissariat aux apports dans le cadre d'une acquisition, et donc, incompatibilité entre la mission CAC et CAA sur une même entité (d'autres ont opté pour la DDL acquisition...) ;
Question 1.8 : DDL attestation possible, je pense qu'il ne s'agissait pas d'une question-piège, juste un test pour voir si l'on connaissait cette DDL.
Vos réponses me font perdre l'espoir d'avoir 10...
Q. 1.1. obligation légale : NON (seuils...)
Q. 1.2. réflexion : l'article 15 des statuts prévoit la nomination d'un CAC donc obligation je pense
Q. 1.3. je pense qu'il faut déclarer le mandat à la CRCC... mais je n'ai pas trouvé la référence...
Q. 1.4. NEP PE!! Mais biensur!! je m'en veux de ne pas y avoir pensé !! et impact sur la lettre de mission : préciser le fait que l'on applique la norme PE!!
Q. 1.5. J'ai cité la notion de "CAA" dans ma réponse à tord, il s'agit de la DDL qui est purement contractuelle.
Q. 1.6. Prise de contact : je pense que oui "en bonne confraternité" mais là encore je n'ai pas trouvé la référence
Q. 1.7. NEP examen limité?
Q. 1.8. Je penses que NON
Q. 1.9. Il manquait les informations sur les délais de paiement fournisseurs et je pense aussi sur les dividendes distribués au cours des trois derniers exercices (à vérifier celle là)
Q. 1.10. Observations dans la 3eme partie du rapport si pas de correction' Après je n'ai pas compris ce qui était attendu dans la dernière sous question...
Il faut que j'arrête de cogiter!! WAIT AND SEE .... (AND HOPE)
LNA2B, vous avez raison, mais une autre personne pourrait dire oui mais ces seuils concernent la SARL au 31/12/2009 alors que la transformation a eu lieu en Avril 2010. Or pour la SARL les seuils sont différents. Sinon pour la SAS, même si les seuils ne sont pas dépassés, le CAC doit être nommé dans le cas de SAS appartenant à un groupe non ?