Bonjour,
Pour l'UE 4 je peux comprendre que vous ayez perdu du temps avec les 55 %, je vois même pas comment vous avez fait avec les comptes de résultat et les bilans. Je n'ai pas eu ce souci mais ça devait bien perturber pour l'exercice surtout que on est vite amené à se poser la question.
Bonjour,
Les % étaient donné sur la première page du sujet. J'ai pas trop compris à quoi servait l'annexe de consolidation du coup.
Sinon, UE5 ce matin, je l'ai trouvée un peu courte, pas trop compliquée, on verra bien
Bonsoir à tous,
J'aimerais retracer ce que j'ai fait sur l'UE4.
Pour le dossier 1 Fusion, rien spécial, je suis quasiment d'accord avec le poste de @Katurado précédent. Pour le mali technique je l'ai complètement affecté en construction car il s'agit du seul élément identifié (donc hors fonds commercial) qui porte une PV et son montant est inférieur au celui de la PV construction.
Pour les frais de fusion la méthode préférentielle est de les imputer en prime de fusion ce qui n'est pas le cas de la société. La durée maximale d'amortissement je l'ai devinée pour 5 ans... (comme pour les frais d'acquisition de titres je suppose que ça doit suivre le même logique sans avoir consulté les mémentos après l'examen...)
Pour le dossier 2 Consolidation:
Partie A, le point essentiel est sur le % d'intérêt du groupe et des minoritaires de SupCréance et Contentieux. Pour SupCréance j'ai eu 47% pour groupe et 53% pour les minoritaires. Pour Contentieux j'ai eu 21% pour groupe et 9% pour les minoritaire (soit 30%-21%).
Partie B, les principales difficultés étaient de faire le partage de KP pour une sous-filiale dans laquelle la société mère détient simultanément une participation indirecte (via Cash Cash) et une participation directe par l'intégration globale (il y a un cas similaire dans les fiches CORROY), ainsi que le partage de KP pour une sous-filiale par la mise en équivalence (on a eu une même question dans l'annale 2018).
Partie C, des retraitements simples et courts (par rapport aux retraitements de 2018...), rien à dire.
Partie D, il s'agit d'une filiale autonome donc méthode du cours de clôture: tous les postes du compte de résultat sont convertis au cours moyen N, les postes des KP sont convertis aux cours historiques et les autres postes du bilan au cours de clôture N. Pour le capital j'ai eu 39000 soit 23400/60% (prix d'acquisition historique pour 60% de titres). Et j'ai eu un écart de conversion actif de 4200€.
Partie E, l'énoncé a indiqué que le groupe établit ses comptes selon les normes IFRS, d'ailleurs le dirigeant souhaite évaluer la participation ne donnant pas le contrôle à sa juste valeur, il est donc évident que le goodwill soit évalué par la méthode de goodwill complet...car on évalue pas les intérêts minoritaires pour goodwill si celui-ci est calculé selon la méthode partielle. Pour les montants j'avoue être un peu confondue aussi. Mais après avoir réfléchi pendant quelques minutes je me suis persuadée que les 800K€ étaient pour 70% de participation. Et le reste du capital soit 30% il est évalué à 720K€. L'écart d'évaluation = (230K€ - 200K€) * 75% = 22,5K€. Juste valeur de 100% Solva = 100+400+120+22,5=642,5K€. Le goodwill complet est donc de 800+720-642,5=877,5K€, avec la contrepartie en titres Solva pour 800 - 642,5*0,7 = 350,25K€ et en intérêts ne donnant pas le contrôle pour 720 - 642,5*0,3 = 527,25K€.
Pour le dossier 3 Audit, comme il ne s'agit pas d'une partie du chiffre, il y a beaucoup de subjectivité...pour les seuils je pense aussi que ce n'est pas du tout top, ça n'a déjà pas beaucoup d'intérêts de retenir les seuils par coeur, d'autant plus qu'ils ont été déjà changés après la loi PACTE! Mais bon tant pis.
La procédure à mettre en place en absence de la réponse du client est la procédure alternance donc test d'apurement.
Pour la lettre d'affirmation je n'étais pas très sure, j'ai raisonné comme quoi ça dépend du fait que si le CAC pouvait ou non avoir une assurance raisonnable sur la fiabilité et l'efficacité du contrôle interne, sur le nivaux des risques et sur le processus d'élaboration des comptes, malgré l'absence de la LAF. Et en fonction du niveau d'assurance le CAC décide s'il faut émettre une opinion avec réserve ou refus de certification.
Pour l'adoption de la comptabilisation des IDR il s'agit d'un changement de méthode comptable et il faut insérer une observation dans le rapport CAC.
Pour le fonds commercial il conviendrait d'après moi d'ajouter un paragraphe dans la partie "justifications spécifiques" du rapport CAC mettant en évidence la note dans l'annexe décrivant la méthode de valorisation et de dépréciation appliquée par l'entité pour le fonds commercial, ainsi que son montant compte tenu de son importance (26% du total bilan en N-1).
Voilà voilà, je suis preneuse de vos remarques! :) Merci d'avance.
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Fondateur de Compta Online
Bonsoir,
Je suis toujours preneur de versions scannées de bonne qualité des épreuves de la journée.
Mon email (si vous ne le connaissez pas encore !) : forum@compta-online.com
Frédéric
Bonjour à tous,
Je rejoints les avis concernant la MSG, le sujet était beaucoup trop long, difficilement faisable en 4h (surtout que je suis resté rivé sur ma feuille). Par contre sujet assez abordable, pas de grande difficulté et beaucoup d'information dans les documents. Moi qui avait beaucoup travaillé l'aspect contrôle de gestion, je suis un peu déçu de voir que cela représentais moins de 20% (et encore) de la note.
En tous cas je suis relativement confiant d'avoir une note me permettant de valider le diplôme.
J'ai également procédé de la même manière pour le goodwill complet mais je crains qu'on se soit gourés tous les deux. En relisant le sujet après coup, je me suis aperçu que les 720.000 euros ne représentent pas que les titres ne donnant pas le contrôle mais la valorisation boursière de toute la société à la date d'évaluation. Donc les int. minos ne sont que 720.000*0.3= 216.000 dans ce cas. Avec une JV de 642500, tu te retrouverais avec un GW complet de l'ordre de 373,5 K dont 350250 pour le groupe et 23250 pour les minos. Ce qui semble beaucoup plus raisonnable que les résultats obtenus dans la première hypothèse.
En fait ça n'aurait aucun sens en réalité que pour une entité qui pèse globalement 642500, la part des interets minos estimée en valeur boursière seule soit 720000. C'est pas du tout cohérent comme chiffres et c'est là où notre interprétation pêche.
Perso, je m'en veux un peu car c'est un cas de Goodwill qui ne vaut même pas les cas d'application qu'on rencontre tous les jours dans les exos. Mais je l'ai fait dans la précipitation car j'ai traité la conso en dernière position et les surveillants annonçaient déjà la fin du temps imparti.
Oui peut être t'as raison. Franchement j'en sais plus rien, le sujet était vraiment pas claire. J'ai juste lu 10 fois la phrase "la valorisation des titres ne donnant pas le contrôle est réalisée sur la base de la valeur boursière qui s'élève à 720K€" et je me suis persuadée que les 720K€ concernaient vraiment que les titres ne donnant pas le contrôle. Mais bon... même si on s'est trompé de ce chiffre, le reste de nos calculs et les écritures sont bons! On va en avoir au moins quelques points :)
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