Je suis dans le même cas que toi, j'ai cru comprendre que l'inscription était longue du fait notamment de l'enquête de moralité, à mon avis, se faire inscrire comme salarié permet de gagner du temps plus tard quand on veut s'installer ou s'associer, car il n'y a plus qu'à changer de catégorie.
Si quelqu'un a des précisions je suis également preneur,
Sujet très intéressant. Sur le site de l'ordre on trouve facilement les formalités à accomplir pour l'inscription. Concrètement, comment cela se passe ? Entre l'obtention du relevé de note (aujourd'hui) et l'inscription en qualité d'indépendant, combien de temps cela prend ? Quels sont les pièges à éviter ? Les erreurs d'aiguillage à éviter ? Par ailleurs, que se passe-t-il lorsque l'on a eu 16 au mémoire ? J'ai entendu parler d'un présentation à Paris pour les meilleurs mémoires. Merci d'avance, Boris
l'inscription a l'ordre, permet une reconnaissance professionnelle ( inscription sur l'annuaire professionnel), permet de cotiser à la caisse CAVEC (retraite des experts comptables), permet l'utilisation de la mention "expert comptable" et l'application au minimum de la convention collective, dans certaines situations cela peut être utile... sauf si vous avez déjà bien négocier votre intégration...
Diplômé de novembre 2007, je me renseigne actuellement pour une inscription à l'OEC et à la CNCC, et suis effaré par le coût des inscriptions de jeunes diplômés... :( Je m'explique : d'après mes informations, l'inscription à l'OEC pour un expert-comptable salarié (non encore inscrit) a pour conséquence :
1 - le paiement d'un droit d'entrée de 1 600 ¤ (!) 2 - le paiement de la cotisation annuelle (proratisée cependant et une remise de 50 % est accordée la première année d'inscription sur le tarif normal) 3 - l'obligation de souscrire à la CAVEC (Caisse d'Assurance Vieillesse des Experts Comptables et des Commissaires aux Comptes) : soit une cotisation annuelle minimum de 4 800 ¤ a partager entre le salarié et l'employeur selon la proportion respective de 40/60).
Je suis vraiment scandalisé, car cette situation n'engage pas les cabinets à inscrire leurs jeunes diplômés ! C'est un coût indéniable et l'employeur n'est pas du tout incité à mettre en avant ses jeunes diplômés. Pour moi, il y a vraiment un contre sens entre la volonté de l'OEC (et la CNCC) de maîtriser les effets du "papy boom" prévu selon les courbes statistiques en 2010 pour ces professions et l'engagement de jeunes recrues.
Quel est votre avis sur ce point ? Pourra t-il y avoir des évolutions en la matière ? (notamment pour la CAVEC ?)
« Bienvenue au club des diplômés qui exercent en cabinet sans pouvoir disposer du titre »
En effet c’est très frustrant d’arriver au bout du tunnel et de devoir faire encore un effort, financier cette fois-ci pour bénéficier de quelque chose d’évident.
Je pense pou ma part que l’ordre et la compagnie auraient grand intérêt à nous intégrer pour une somme plus raisonnable.
En effet cela contribuerait au rayonnement de la profession et au rajeunissement des membres de l’ordre et de la compagnie. Mais aussi à une réduction de la cotisation, vu que l’on serait plus nombreux à cotiser.
Pour ce qui est de la retraite, il faudrait là aussi trouver un consensus : prorata du salaire, exonération sur les premières années, ….
Dans les pays Anglo-Saxon tous les jeunes diplômés affichent leur titre, la cotisation est modique et il n’y a pas de cotisation obligatoire à une caisse de retraite. Le résultat est simple : il y a 3 à 5 fois plus de CPA, CCA, ACCA (proportionnellement à la population) qu’en France. Le titre est reconnue, la profession est reconnue et est aussi influente dans la société civile que dans le monde professionnel.
il me semble que l'inscription à la compagnie est gratuite, je me trompe? car pendant mon stage, on nous avait conseillé de s'inscrire tout de suite au cas où si un jour l'équivalence EC/CAC disparaissait, nous pourrions exercer en CAC par la suite.