Bonjour a tous et à toutes,
Je connais l'importance de l'inventaire en comptabilité. Ce que je vais écrire à vocation de diffusion plus large.
En fait, si c'était faisable, j'aurai voulu l'écrire à l'ordre des experts-comptables de ma région que je connais bien depuis que j'ai intégré en 2008 le cursus de la nouvelle réforme.
Car dans mon fort intérieur, j'ai beaucoup à dire aux professionnels du chiffre tout comme eux aussi auraient a me dire pour certaines entreprises audacieuses.
I Ce que je voudrais dire aux professionnels du chiffre-A -Le
DCGUn mea culpa me paraît vraiment justifié. Étudiant, je me souviens avoir été d'une telle dévotion dans le peu de tâches que je me voyais confié que ce trop plein d'investissement cognitif ne me paraissait pas dangereux.
Je me sentais et me croyais fait par et pour le métier au vu des traces mémorielles familiales que l'un de mes grands pères m'avait laissé. Je ne m'etendrais pas sur son parcours, ça n'intéresse plus grand monde de savoir qu'existait ce qu'on appelait autrefois des comptables agréés.
Le simple fait d'être collaborateur comptable c'était a mes yeux un engagement peut être tout aussi intensif que si j'avais décidé de m'engager aux armées dans le même métier.
Et donc par voie de conséquence, le déc devait a cette époque devenir un genre de certificat d'aptitude et une marque de reconnaissance comme l'était autrefois le titre de chevalier quand la France était une monarchie de droit divin . Je n'avais pas vraiment de plan en tête stratégique.
Et pourtant la réalité de ce métier était quand même sous les yeux a cette époque pas si éloigné ou le mot digitalisation n'était pas envisagé.
Je voyais alors l'engagement des collaborateurs comme une somme on va dire d'impératifs: technicité comptable, relationnelle avec la clientèle.
Quand j'ai fait mes preuves en tant que stagiaire,c'est l'année a peu près ou j'étais diagnostique autiste. Une donne qui change a 20 ans quand tout ce que vous avez alors fait devient limpide, compréhensible.
Non vraiment en 2009, pour moi on y allé sans recul avec tout de même une constante: un entourage professionnel ou la sensibilisation au handicap n'as pas été faite. Par soucis je dirais a l'époque de ne pas mettre du misérabilisme là où on me croyais capable de réussir.
Sans vraiment se rendre compte tout de suite que cette manière d'eluder l'impact de l'autisme dans la sphère professionnelle signifiait véritablement: une reconnaissance de droit et de fait pour les examens et le diplôme du DCG y compris l'enseignement qui était en initial mais sur le terrain, c'était selon on va dire le degré d'ouverture d'esprit du maître de stage. Et dans mes souvenirs, le mot autisme n'est jamais abordé. Il n'est question que de mon seul engagement on va dire de stagiaire comme si tout a chacun avait acte fortuitement que cette donnée ne devait pas être nécessairement pris en compte alors que pourtant si elle l'aurait du.
Autre stage dans une structure d'un Big four qui a l'époque n'avait semble il jamais eut de sensibilisation. Trois jours avaient passes avant que le pot aux roses me concernant soit révèle de manière discrète.
Et c'est au cours de ce stage que la composante sensorielle m'a rattrapé. Une évidence était la: exercer une mission de collaborateur comptable en présentiel tel qu'elle existait c'était cognitivement vorace. J'avais en tête un vieux livre de François de closet: Toujours plus!
Mais il n'était question pour moi que de charge cognitive. Et mon dieux que de travail de collecte pour un diagnostic financier de pharmacies. Je voulais tant que ce soit aux petits oignons que je passais sous le tapis le reste.
La suite fut que je fut diplômé avec les honneurs familiales en 2011. La suite pour moi devait logiquement débouché en contrat de professionnalisation pour un
DSCG.
La suite sera publié ultérieurement.
Merci d'avance de vos lectures.
