Dans les petites entreprises et les comptabilités les plus simples, les capitaux propres sont les apports des associés et les bénéfices non distribués. Dans les sociétés de plus grande taille ce n'est pas suffisant.
Ainsi, dans les petites entreprises, les capitaux propres se limitent souvent aux comptes 101, 108, 106, 11 et 12. Ce sont les comptes de capital social, de réserves, de report à nouveau et de résultat de l'exercice. Dans les entreprises individuelles, il faut aussi utiliser le compte de l'exploitant.
Dans les plus grandes sociétés existent en plus les primes liées au capital, les écarts de réévaluation et parfois même, des subventions d'investissement et des provisions réglementées.
Pour plus d'informations, lire l'article : « Les capitaux propres : composition et variations ».