Bonjour Akissmax pour avoir pris le relais. Mais je me rends compte que le forum ne bouge pas beaucoup. Sommes-nous déjà essouflé alors que la course ne vient que de commencer? Persévérons et participons pour faire vivre cet espace. Sur ce, je propose mon essai de plan:
I- LES RAISONS DE LA PLACE GRANDISSANTE DE LA SECURITE FINANCIERE DANS L'ENTREPRISE A- Les scandales financiers récents: Enron, Worldcom, Parmalat B- l'asymétrie de l'information dans les relations actionnaires- gestionnaires II- LES REPONSES RECENTES DU LEGISLATEUR AU SOUCI DE SECURITE FINANCIERE A- La loi Sarbanes Oxley de juillet 2002 aux Etats-Unis B- La loi de Sécurité Financière du 01 août 2003 en France III- LE CONTRÖLE INTERNE EN TANT QU'OUTIL DE SECURITE FINANCIERE A- Les objectifs actuels du contrôle interne B- Les conditions pour assurer la sécurité financière CONCLUSION
Coovi, je suis tout à fait d'accord avec toi! Il y a de moins en moins d'interventions sur les thèmes proposés. J'ai l'impression qu'avec le temps nous nous essouflons là! Alors un peu de nerf! Et tous à nos claviers.
Concernant ce sujet, il est vraiment d'actualité et demande une réelle mise à jour de nos connaissances en management, en finance, mais aussi en audit; dans la mesure où il aborde l'un des aspects les plus importants des réformes mises en place en matière de sécurité financière dans le monde depuis 2002.
La présentation du sujet exige une parfaite connaissance des nouvelles lois de Sécurité financière et leur impact sur l'amélioration du contrôle interne des entreprises, notamment celles qui sont côtées.
Pour ma part, je rejoins Coovi quant au fond du développement du sujet, néammoins je présenterai mon plan sous une autre forme:
Introduction
I. Les nouvelles lois de Sécurité Financière 1. Raisons ayant motivé leur création 2. Lois SARBANNES-OXLEY ("SOX") et LSF
II. Implications sur le Contrôle Interne 1. Prinicipales mesures concernant le CI 2. Les limites de mise en oeuvre de ces mesures
Conclusion En cherchant à protéger le marché financier suite aux différents scandales survenus à travers le monde; et implicant aussi bien les gestionnaires d'entreprises, les banques que les cabinet d'audit, le législateur a mis en place les nouvelles lois de sécurité financière. L'une des mesures les plus importantes affecte sensiblement le contrôle interne des entreprises; et exige des entreprises la mise en place obligatoire de procédures sous la responsabilité de leurs dirigeants. Mais cette mesure se heurte à de nombreuses réticences quant à son coût et à son applicabilité sur le terrain.
Il est certain que ceux qui ne maîtrisent pas ces nouvelles lois et leur principales implications dans le monde des affaires, sont tout de suite éliminés. Et je vous avoue que c'est l'occasion encore une fois pour nous tous de réelement s'impliquer dans nos débats. Pour ma part, ce thème m'a permis de faire un rappel des différentes raisons et des principales règles qui sous-tendent les nouvelles lois de sécurité financière.
Voila ma proposition. En introduction je commencerais par la théorie bien connue de l'agence et donc de l'asymétrie d'information entre l'agent et le manager. D'emblée nous pouvons distinguer deux parties, ceux qui produisent l'information et ceux qui l'utilisent.
Les managers sont poussés à vouloir augmenter la taille de l'entreprise pour améliorer la valeur de cette dernière et donc percevoir de meilleures rémunérations (je ne me souviens plus du nom de la théorie, veuillez m’en excuser). Egalement la théorie de l'incitation montre que les managers sont motivés pour accroître le résultat de l'entreprise afin de toucher leurs stock-options dont ils ont fait monter le cours grâce à la valorisation de l'entreprise. Les managers contrôle la production des documents comptables et pilotent le contrôle interne. Le contrôle interne sert à justifier l’élaboration des documents comptables, il n’a qu’un rôle de subalterne et ne peut évidemment pas jouer le rôle de contre-pouvoir. Dans ces conditions, un contrepoids est plus que nécessaire !
Les actionnaires laissent le soin de la gestion à des professionnels afin qu’ils fassent fructifier leurs économies. Les récentes affaires d'Enron, d'Ahold, de Parmalat ou encore Vivendi en France, témoignent d'un déséquilibre entre les actionnaires et les managers. J'en profite au passage pour faire un clin d'oeil par rapport au dernier sujet à ceux qui soutenaient que la grande entreprise ne pouvait appartenir aux managers... Bref, dans ces conditions, l'Etat intervient pour aider "les plus faibles". D'où l'apparition de la loi Sarbanes-Oxley suite au scandale d'Enron. Certains pensent que le scandale de 1929 serait à mettre sur le compte de la comptabilité. A part les dirigeants, personne n'a intérêt à ce que les comptes soient truqués (mise à part les commissaires aux comptes peut-être…). Aussi la comptabilité fait l'objet de réformes avec l'adoption des IFRS pour les entités cotées en Europe, les US GAAP au Etats-Unis.
Le plus épique dans tout cela est que l'IASB, l'organisme chargé de l'élaboration des normes, est financé par des grosses entreprises et les big 4. Les lois sont votées par une majorité d'hommes politiques qui ont tous, à un moment ou un autre de leur vie, fréquentés le sommet de grosses entreprises ou subissent du moins les pressions des lobbys. Enfin, je reste pessimiste sur le concept de "sécurité financière", je dirai plutôt "l'apparence de sécurité financière" car dans le fond, le but est juste de maintenir une confiance (artificielle) des actionnaires envers les marchés financiers.
Pour résumer : deux parties I. Les producteurs des informations II. Les utilisateurs et les régulateurs des informations
Je propose un plan du type I La loi de sécurité financière ; obligation II Conséquence sur le controle interne vivement le prochain sujet car celui ci est dure je trouve a bientot aurélie
Il est vrai que le sujet précédent demandait des connaissances assez pointues et à jour en matière de finance et de management. Mais il nous pousse à faire le maximum de recherches dans le cadre de thèmes dont le développement s'apparenterait à celui-ci.
Le sujet de cette semaine du 30 Avril au 6 Mai m'inspire la même chose d'ailleurs. C'est vous dire que à Aix, en 2006, çà ne badinait pas!
Pour nous permettre d'accélérer, permettez moi de proposer que nous attaquions deux sujets pour cette semaine.
Les thèmes: " Le manager et le droit social" et "La rémunération des patrons"
Vous avez bien-entendu la possibilité de répondre à un sujet ou aux deux, selon votre inspiration.
Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de développer en parallèle deux sujets sur une seule semaine. Cela ne nous laisserait pas le temps de bien les traiter, et comme les interventions ne peuvent pas toujours être très prolixes....
Je propose donc de commencer sur le premier thème : "le manager et le droit social".
Je proposerais ma réflexion demain, car je voudrais pouvoir proposer quelque chose de construit plutôt qu'une simple liste d'idées.
Bonjour pour le sujet management et droit social j'exposerai les 3 grandes idées de cette relation I Appréhender la gestion des contrats de travail II savoir gérer les régles de disciplines III Respecter la sécurité IV etre un pilier du climat social ce n'est que mon avis merci de me donnet votre avis aurélie le deuxième sujet je m'édite réponse demain
Je ne participe jamais car à chacun des thèmes je n'ai pas le temps de prendre du temps pour y réfléchir.
Aussi pour le thème le management et le droit social, même si ce sujet ne m'inspire pas grand chose, je souhaite participer afin que "cet espace continu" (de coovi).
Je n'ai pas de plan mais voici les quelques idées qui me viennent :
- l'évolution du poids des syndicats dans les négociations. - les conflits collectifs : les salariés font de plus en plus massivement appel à la grève pour revendiquer leur réclamation. - La nécessité pour le manager de motiver ses salariés tout en sachant garder un minimum de discipline. - la compétence des salairés : évolution des nouvelles technologies.
Bonsoir, j'approuve l'idée de Maxime SOULIGNAC car à vouloir traiter 2 sujets à la fois, nous risquons de nous mélanger les pédales. Ce à quoi je pensais, c'est qu'à la longue, nous fassions 2 sujets par semaine en décomposant la semaine en 2: Ainsi, nous traiterions un sujet du lundi au mercredi puis un autre sujet du jeudi au dimanche. Pensez-vous qu'une formule de ce genre marcherait? Mais pour le moment, continuons de réagir par rapport au sujet de la semaine: LE MANAGER ET LE DROIT SOCIAL
